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Parce que tu n'es pas là

Verona

Nouveau poète
#1
Alors qu’embaument les roses dans l’horizon bleutée
Et que la douce brise sur mes yeux vient mourir
J’aperçois au lointain cette ville effrénée
Dans laquelle viennent s’enfouir ceux qui voudraient la fuir.

S’éteignent les réverbères ainsi que ce croissant
Qui régnait là en maître sur les terres et les airs
Bientôt vont flamboyer les lueurs du printemps
Et me faire oublier la pâleur de l’hiver.

Mais la seule couleur qui me manque est celle de tes yeux dans les miens.
Le vent sur moi peut bien glisser, seules me font frissonner tes mains.
J’attends ce jour où je pourrai enfin sentir mon cœur danser.
Car rien au monde ne fait plus mal que ton absence à mes côtés.

Pendant que le soleil se lève, que fais-tu donc si loin de moi ?
Peux-tu entendre ton prénom que murmure sans trêve ma voix ?
Seuls les oiseaux, du bout des arbres, en fine bruine, soufflent leurs chants.
Mais c’est ta musique qui me hante, pure mélodie sans contretemps.

 
#3
Pourquoi ne pas pouvoir voter pour tout en même temps ? Je le ferais les yeux fermés en ce qui concerne tes écrits.